Le coeur en action, retraite en ligne

Dans ma série « Envie de se ressourcer« , je vous propose cette retraite en ligne (circonstances obligent) qui a juste l’air top !

Descriptif sur le site du Village des Pruniers : ceci est une retraite spéciale pour les militants écologistes, les militants sociaux et tous ceux qui travaillent à construire une société saine et compatissante. Être militant entraîne un risque de burnout, de conflit relationnel, d’épuisement émotionnel et de désespoir. Comme antidote, nous explorons comment écouter réellement notre coeur, restaurer l’équilibre et l’harmonie dans notre vie, et trouver le force et l’inspiration dont nous avons besoin pour construire des communautés collaboratives et réaliser notre aspiration collective.

Cette retraite est proposée par des moines, des nonnes et des laïcs du Village des Pruniers, formés par Thich Nhat Hanh, maître zen et militant pour la paix. Thich Nhat Hanh a été le pionnier du “bouddhisme engagé” où la pleine conscience et la méditation soutiennent l’action concrète pour un monde meilleur. Les pratiques de pleine conscience qu’il enseigne, ainsi que celles de sa communauté, ont été testées en temps de guerre et de conflit. Cette retraite a pour but de vous aider à prendre soin de vous afin de pouvoir continuer à prendre soin du monde qui vous entoure.

Je ne pense pas que j’aurais eu l’endurance intérieure, la profondeur de l’optimisme, la profondeur de l’engagement, la profondeur de l’inspiration si je n’avais pas été accompagné par les enseignements de Thich Nhat Hanh

Christiana Figueres, UNFCCC Chair of the Paris Climate Agreement

L’environnement n’est pas à l’extérieur de nous, nous sommes l’environnement. Ce dont nous avons besoin est une transformation de notre conscience, de nos idées sur le bonheur, et de notre mode de vie.

Thich Nhat Hanh

Je vous conseille également de visionner la vidéo de Thich Nhat Hanh intitulée Touching Eternity (en bas de page) datant de 2012. Passionnante.

Mooc : Transition intérieure

En ces temps si spéciaux de confinement/déconfinement/couvre-feu, je ne sais pas vous, mais moi j’ai besoin d’une sacrée dose de foi, d’un ancrage sérieux pour tenir le cap.

Aujourd’hui plus que jamais, je ressens le besoin de me lier au monde : à la nature, aux hommes, aux femmes et aux animaux. Au beau en général, l’ambiance est si souillée.

S’il est compliqué de rencontrer du monde, s’il est presque impossible (presque:)) de se rendre dans des stages, des accessoires fabuleux sont néanmoins disponibles et à utiliser sans modération. Ils fleurissent sur le net pour nous permettre de nourrir nos cerveaux en demande de liens, d’idées, d’inspiration et d’espoir.

Ce mooc proposé par l’universtité des Colibris tombe donc à point nommé : https://colibris-universite.org/

Si vous cherchez des réponses, du soutien, des clés pour traverser cette période complexe et oeuvrer dès aujourd’hui à la construction d’une société alliée du vivant : ruez-vous sur ce lien. Il est pour vous !

Ce mooc encourage à regrouper du monde autour de soi pour aborder à plusieurs les différentes étapes proposées tirées du Travail Qui Relie de Joanna Macy. Alors allez-y, ne vous privés pas : faites des groupes, parlez, échangez. Grandissons ensemble. C’est ce que nous proposons localement dans notre association/amap/lieu de tous les possibles : on s’y met à plusieurs, on crée du lien et ensemble, on avance.

Les solutions existent, elles sont toutes là. Voyons-les.

Interrogations hivernales

Faire sa part, confinés, c’est encore une nouvelle étape.

Je suis allée au bout, j’ai écris mon livre et j’en suis contente : s’il est lu, il pourra aider, j’en suis sincèrement convaincue, à allumer des étincelles, planter des graines ou réveiller des âmes assoupies. S’il est lu, tout est là. Je l’ai envoyé dans des maisons d’éditions et depuis, j’attends. En me rongeant les ongles. Mais la période est ce qu’elle est : les gens ont le temps de lire mais les maisons d’édition ont, comme tous, souffert. Alors, les nouveaux auteurs, ne sont pas la priorité. Il y a tant à faire avant. On m’annonce des délais qui me font chavirer, perdre espoir par moment : six mois pour des réponses, pas de nouveaux auteurs avant au moins un an, voire deux.

Mais honnêtement, quel est l’intérêt pour que mon livre soit publié dans un an, voire plus ? Ce n’est pas un livre qui peut attendre. Je l’ai écris pour porter un message urgent. Dans un an, où serons-nous ?

Je m’interroge donc sur le médium choisi : le livre est-il un moyen judicieux pour porter un message urgent lorsqu’on n’est pas un auteur pouvant prétendre être édité dès le manuscrit achevé ? Comment créer un nouvel imaginaire, alors ?

Comment faire pour qu’il soit lu, alors ? L’autoédition ne m’attire pas. Créer ma propre maison d’édition, peut-être ? Là encore, j’ai l’impression que ce sera long, trop long. D’autant que la vie est incertaine pour ma famille en ce moment, à cause de l’actualité politique, nous ne savons pas si nous resterons en France l’an prochain. L’enregistrer, alors ? Créer un site Internet, le distribuer ainsi ? Les idées se chamboulent et m’interrogent alors que Décembre est déjà bien entamé.

Une chose est certaine : je vais le transmettre, il sera lu.

Comment ? Je vais trouver.

Chronique d’un second confinement – J13 : des cadeaux de Noël à manger ?

Biden est adoubé par une grande partie du monde, Trump s’accroche à sa propre réalité. Nooooooon, il n’a pas perdu ! Euh, mais si… Bref.

Et nous ? Eh bien, nous sommes toujours confinés. Et apparemment, pour bien plus longtemps que la fin de ce mois annoncée par notre Mr President, toujours plus puissant, auquel rien ne semble pouvoir résister (un parallèle avec le premier paragraphe ?) Inquiétant ? Oui. Mais c’est un autre sujet qui ne sera pas abordé ici. Pas aujourd’hui en tout cas.

Mais même de chez nous, on ne baisse pas les bras. Au contraire, on s’organise. Au niveau local, comme lors du premier confinement, on s’active. Mais encore en mieux. On se rôde, on apprend.

L’infatigable présidente de notre Association a lancé un Marché de Noël virtuel, qui a insufflé une belle bouffée d’oxygène aux citoyens désespérés par le reconfinement que sont les petits commerçants et artisans qui rendent, au jour le jour, notre vie si belle. Oui, oui, oui ! Diantre, n’allons pas en plus, attribuer au déjà boulimique Amazon le rôle du Père Noël cette année ! Levons-nous, soutenons ceux qui ont besoin d’aide, ceux sans qui notre cadre de vie ne serait plus le même. Franchement, c’est à NOUS de NOUS prendre en main et d’agir pour préserver ce que nous jugeons important. Aujourd’hui, pas demain. Demain, qui sait ce que peut arriver… Donc oui, offrons du Local !

Et en parlant de cadeaux, pourquoi ne pas offrir de bons aliments à ceux qu’on aime ? Des aliments de qualité, fabriqués par des gens qui aiment leur métier. Qui prennent soin du monde grâce auquel ils vivent, chérissent les produits qu’ils réalisent et respectent les clients à qui ils s’adressent ? Eh bien oui, on (argh, je n’aime pas dire on mais bon, là, je me le permets) entend souvent que la bonne nourriture, « c’est cher ». Que « le bio, c’est hors de prix ». Et si on profitait de Noël pour en offrir ? Si on décidait d’offrir un émerveillement des papilles cette année ? Plaisir de l’éphémère, jouissance du moment présent. Ça fait rêver, hein ? Revenons à offrir des moments vécus, à déguster des instants partagés.

Et quand on y regarde bien, les objets Amazon, eux aussi, ils coûtent cher. En plus, ils coûtent au monde et à la Terre, mais ça, ce n’est pas marqué sur notre ticket de caisse virtuel. L’autre ticket par contre, celui qu’on ne voit pas (encore) est toujours plus long et lorsque nous allons le recevoir, on va le sentir passer. Alors, autant essayer de ne plus trop l’allonger. Et puis, en plus, les objets Amazon, ça casse. Toujours plus vite. Alors que la vie, la nourriture, les moments échangés, les regards complices, c’est éternel. Alors, pourquoi hésiter davantage ?

Et si nous options désormais pour des cadeaux éternels ?

À méditer…

Chroniques d’un second confinement – J9

16h00, France. Ça se précise pour Biden. Trump est presque hors-jeu mais continue de se couvrir de ridicule devant le monde, médusé par son attitude et ses propos délirants. Enfin, les médias semblent recouvrer un semblant de jugeote : ils ont interrompu la diffusion de son speech, sous prétexte de trop de mensonges et d’erreurs. Enfin, ils le corrigent. Enfin, ils reprennent vie. Où étaient-ils donc passés pendant ces quatre dernières années ? La Terre ose croire que les plus gros pollueurs du monde vont rejoindre la table des discussions et tenter de freiner la marche infernale vers toujours plus de destruction… Tic-tac. Tic-tac.

Chroniques d’un second confinement

11h00

On est au bord du gouffre environnemental (qui dit que nous ne sommes d’ailleurs pas déjà en train de tomber ?) et concrêtement, on fait quoi ? Rien. Absolument rien.

Pire, on est cloîtrés chez nous avec interdiction de sortir. Interdiction de nous regrouper, interdiction de manifester contre les libertés qu’on nous enlève au gros compte-gouttes. Interdiction de se plaindre des conditions de travail en milieu hospitalier. Interdiction de trouver ridicule qu’en plein CoVid on préconise à l’hôpital de Toulouse de diminuer son nombre de lits. Interdiction de s’inquiéter du dépoloiement accéléré de la 5G, sous peine d’être accusé d’aller contre le progrès. Interdiction d’être choqué par l’amalgame fait entre le terrorisme et l’Instruction en famille. Bref, interdiction de critiquer le gouvernement qui semble avoir oublié qu’il a été élu pour représenter tous les citoyens.

Et parce que le tableau n’est peut-être pas assez sombre, les attentats ont recommencé. À point nommé, me direz-vous, pour appuyer l’envie de dégager de notre constitution toute vélléité à souhaiter prodiguer un enseignement différent à ses enfants (comme prôné par l’article 26 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, petit texte à simple valeur déclarative, il est vrai…). Bref, l’homme est à ce point destructeur qu’il accélère lui-même le boulot qu’il met pourtant un point d’honneur à exécuter à vitesse grand V. Tuer, plus, plus vite. Tout, le temps, partout.Et qu’aucune forme de vie n’en réchappe !

Ankylosée par le marasme de ce début novembre, je regarde par écrans interposés, un président sur la sellette, mentant, menaçant, jurant comme il le fait depuis quatre ans, s’accrochant aux restes d’une présidence qui nous aura donné des suées jusqu’au bout. Deux jours que je dors peu, que je respire mal. Outre-Atlantique, ça compte, encore et toujours. Il reste ? Adieu définitif aux Accords de Paris, dont les USA sont d’ailleurs sortis officiellement hier. Caustique, ce calendrier. Il part ? J’ose rêver à un peu de répit, faute de parler d’espoir franc pour la planète. Enfin, pour nous plutôt…

17h30

Je suis sortie acheter à manger. En passant devant la librairie-Maison de la presse, j’ai glissé un œil à l’intérieur. Envie coupable de voir des livres, comme ça, pour rien. Pour le plaisir des yeux, quelques palpitations du coeur. Mal m’en a pris. Tous les rayons étaient bardés de ce scotch qu’on voit dans les films de crimes et d’hémoglobine. Vade Retro. Livres inaccessibles. Interdits à la vente. Ne pensez même pas à les regarder. Je relève la tête. Face à moi, la vendeuse masquée attend derrière sa caisse. Derrière elle, des étagères dégorgeant de cigarettes non scotchées, elles. Et oui, fumer est autorisé. Et considéré comme un bien de première nécéssité. En ces temps d’urgence sanitaire, prendre soin de sa santé est à l’évidence secondaire. Oserais-je aller jusqu’à penser qu’il serait même recommandé de continuer à la détériorer ? Parce qu’on le sait bien, le CoVid aime tout particulièrement les corps aux défenses immunitaires un peu fébriles… Et grâce au tabac, bronches, poumons et gorge ont de grandes chances de ne pas être au top. Loin de moi l’idée de vouloir faire de l’humour noir, le temps est déjà trop sombre. C’est juste que… qui pourrait me dire en quoi fumer est essentiel et lire ne l’est pas ?

Une pierre, puis une autre…

Aujourd’hui, j’ai le plaisir de partager un article que j’ai écrit pour un magazine que j’apprécie tout particulièrement, Grandir Autrement.

Un magazine qui regarde le monde avec cœur et bienveillance, un magazine qui parle de douceur, d’enfance, qui change d’angle d’analyse, qui parle de choses dures aussi parfois.

Parce qu’il est très Greenosity, je le partage ici en espérant qu’il trouve écho en vous.

Article Grandir Autrement

Prenez soin de vous,

Pour moi, c’est un roman et pour vous, c’est quoi ?

Je viens de terminer le roman sur lequel je travaille depuis un an et demi. La première version du manuscrit tout du moins.

Un roman, mais pourquoi ? Et pourquoi en parler ici ?

Parce que ce roman est né de mon besoin de faire bouger les lignes. Je suis active sur le terrain, j’agis tous les jours un peu plus au quotidien pour changer les choses et nos paradigmes mais je sentais que ça ne suffisait pas, j’avais besoin de quelque chose d’autre. De viscéral.

Mais qu’est-ce que je peux bien apporter d’autre ? Je me suis posé cette question des centaines de fois. Que sais-je faire ? Que pourrais-je bien faire d’autre pour participer au changement de paradigme dont nous avons tant besoin ? Et l’évidence était là, devant mes yeux, criante. J’aime raconter des histoires, observer le monde et les gens, façonner des personnages… Oui, mais des livres sur l’importance d’agir pour sauvegarder la vie sur Terre, il y en a déjà tant ! Des milliers sont écrits chaque année, par des gens tellement plus talentueux, pourquoi voudrais-je en rajouter un ?

Et puis, faute de réponses, j’ai arrêté de me poser des questions. Mais je n’ai pas abandonné mon idée, j’ai écrit. Et continué à vivre.

Et de fil en aiguille, d’heures en heures, la toile s’est tissée, les personnages sont nés, les mots ont pris vie sur l’écran en face de moi. Jusqu’à ce matin où, heureuse, j’ai vu mes doigts taper le mot FIN sur mon clavier. Une part de moi sait qu’il n’en est rien, que beaucoup d’heures de travail sont encore à venir, mais néanmoins boucler un premier tour de piste, c’est du bonheur que j’embrasse avec joie.

Pourquoi vous raconter tout ça, ici ?

Parce que le monde auquel nous aspirons reste à créer. Ici et maintenant. Il faut tout essayer. Ce que l’on va proposer peut aider ou non, mais si on ne le fait pas, on ne le saura jamais.

Nous n’avons plus le temps. Arrêtons de perdre nos vies en hésitations, boulots contreproductifs ou autres hobbies pollueurs ou destructeurs de biodiversité alors qu’il y a tant à créer de l’autre côté…

Car oui, regardons les choses en face: aujourd’hui, il faut choisir son camp. Il y a ceux qui œuvrent au maintien de la vie, et les autres. Il n’y a pas d’entre deux. Il y a une transition à penser, à l’évidence, mais plus aucune place ne peut être donnée aux compromis.

Nous n’avons plus le temps de nous demander s’il faudrait faire ceci ou cela. Faisons. Agissons, tentons tout ce qu’on peut, mettons notre énergie du côté de la vie et de la société qui rendra son maintien possible. Il n’y a plus à tergiverser.

Alors, tous les jours, au lever, au coucher, tout au long de la journée jusqu’à ce que nous voulions entendre la réponse, posons-nous ces questions : qu’est-ce que je souhaite apporter ? Qu’est-ce que je sais faire ? Et peut-être plus encore, qu’ai-je envie de faire, d’apprendre ou de créer au plus profond de moi pour être en adéquation avec celui que je veux être ?

Demain dépend de l’énergie que l’on mettra tous à répondre individuellement à ces questions.

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Covid19… et tellement plus

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Depuis presque 15 jours, nous sommes tous confinés. J’ai personnellement eu la visite de corona et m’en remets doucement… Le monde est en stand-by et retient son souffle.

Nous assistons, impuissants, à l’endormissement (l’agonie?) du monde dans lequel nous sommes nés, avons grandi, vécu… Les photos s’accumulent, vestiges d’un instant qui se prolonge : des villes sans âmes, des axes gigantesques sans véhicules, des places nues, de l’espace, du vide… Un paysage digne d’une Belle au Bois Dormant moderne dans laquelle le bois serait devenu béton. La question est : quand allons-nous nous réveiller ? Et dans quel monde ? Est-ce que tout repartira comme avant ou bien…

Ou bien, quoi ?

Nous avons le temps et l’espace d’y penser : ce confinement est un cadeau pour ceux qui ont la chance d’en profiter et ne se voient pas envoyer sur le front, pour utiliser un vocabulaire belliqueux cher à notre président. Mais, et si nous n’étions pas en guerre ? Si nous étions prêts à renaître ? La naissance n’est pas une partie de plaisir, ni pour l’enfant, ni pour la mère, mais ce n’est pas une guerre. Oh que non !

Du temps donc…

Pour s’activer aussi. Pour mettre en place les bases du monde que l’on voudrait voir fleurir « après ».

Localement, nous sortons donc l’artillerie : nous avons des outils, Internet, des contacts, des connaissances. Nous jetons tout dans notre marmite et préparons des solutions, des recettes pour demain :

  • Nos producteurs et acteurs locaux ont besoin de vendre dans ce temps de crise, sinon, demain, ils ne seront plus là. Les magasins sont fermés, les marchés sont interdits, un par un. Nous les aidons. Nous avons les outils (La cagette), nous leur proposons et ils s’en saisissent pour rencontrer les clients là où ils sont, malgré les conditions de distributions improbables qui sont les nôtres… La solidarité est là.
  • Nous prenons contact avec nos élus, proposons nos savoirs-faire, nos idées, nos envies. Partageons nos savoirs aussi.
  • Nous créons des groupes locaux pour rencontrer -d’abord sur le Net- ceux qui, conscients désormais, veulent s’engager à être cocréateurs du monde de demain. Du monde de leurs enfants. Le seul qui puisse être.
  • Nous imaginons de nouvelles façons de faire, de nouveaux métiers, nous relocalisons pour, en cas de besoin – comme aujourd’hui – être capable de vivre ensemble et de vivre, tout court.

Rejoignez-nous. Où que vous soyez. Disséminez vos savoirs, savoirs-faire, envies, rêves.

C’est le moment.

 

 

J-2 : analyse des programmes en groupe et Action !

Nous étions 11 membres de notre association locale Vertitude à participer à la réunion citoyenne et indépendante de mardi dernier, à vérifier la prise en compte des problèmes environnementaux dans les propositions des différentes listes candidates aux élections municipales qui se déroulent ce dimanche.

Nous faisons part de nos réflexions et du résultat de ce moment de démocratie dans le document « Exercice de citoyenneté ». Un grand merci à ceux qui ont joué le jeu et notamment ceux qui se sont investis sur une liste et qui ont su n’être que des citoyens !

Merci pour leurs retours enthousiastes sur la dynamique de partage, de réflexion et d’interaction qui a été initiée. Un grand moment de politique !

Il nous a semblé nécessaire d’élaborer un document à l’intention des listes candidates que vous trouverez sous le nom de « Appel aux candidats ».

Nous avons compilé des documents existants : prenez le temps de lire ce travail citoyen, de vous emparer des outils qui y figurent, de lire ce que vous êtes en droit d’attendre d’un élu local,… bref de faire votre exercice de citoyenneté.

Aujourd’hui, alors que la Marche pour le Climat de demain est annulée pour cause de Corona-truc, utilisons tous les moyens pour nous faire entendre. Si marcher est impossible, parler, s’exprimer, échanger, l’est plus que jamais. Et c’est urgent.

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