Et si nous leur transmettions l’envie de rechercher le bien, le bon, le beau ?

Ah nos adorables chérubins ! Combien de nuits blanches à se demander ce qu’il est véritablement important de leur transmettre, les vraies valeurs qui leur serviront demain, les actes qui comptent véritablement, ce qui fera d’eux de belles personnes…

Les réponses ? L’éducation. Les diplômes. Les diplômes. Et les diplômes…

Mais doit-on vraiment éduquer un enfant ? Est-ce là notre rôle ? Les superviser, les diriger, les formater ? Ne devrions-nous pas plutôt être là pour les guider, les sécuriser, baliser le chemin qu’ils ont choisi de parcourir, leur dire que quels que soient leurs choix, nous sommes là pour eux, que nous les épaulons et le ferons quoi qu’il advienne ?

Et si nous orientions différemment ce que l’on appelle aujourd’hui l’Education ? Si, au lieu de rechercher la compétition et l’individualisme, au lieu de vouloir être le meilleur et avoir ce qu’il y a de mieux, de plus, de $$$, nous encouragions les prochaines génération à rechercher le bien, le bon, le beau ? Sérieusement. Fermez les yeux et imaginez un peu… Notre monde, notre cadre de vie, notre vie n’en seraient-ils pas délicieusement plus agréables?

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ACTION ?!

En attendant que les programmes scolaires s’adaptent, nous adultes – parents ou non, qu’importe ! – montrons l’exemple. Esquissons le monde dont nous rêvons pour que jour après jour, ces petits magiciens le créent, le dessinent grâce à leur comportement :

  • Asseyons-nous à côté de ceux qui sont seuls pour qu’ils fassent de même.
  • Soyons gentils pour qu’ils le soient aussi et l’essaiment autour d’eux
  • Proposons notre aide pour qu’à leur tour, ils sachent tendre la main
  • Offrons notre amitié à ceux qui sont seuls pour qu’ils n’aient jamais envie de tourner le dos à ceux qui en ont besoin
  • Encourageons-les pour qu’ils n’aient pas peur d’encourager les autres
  • Développons notre empathie pour que la leur bouillonne
  • Partageons sans compter pour que recevoir ne soit jamais une fin en soi

Le bon, le bien, la beauté, le monde a-t-il vraiment besoin d’autres ingrédients ?

« Putain, on fait quoi ? »

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Ce cri, je l’ai silencieusement poussé sur ma page Facebook en commentaire à cette page : http://www.franceculture.fr/emissions/le-journal-des-idees/alep-lapocalypse.

Pourquoi ai-je donc écrit cela, sachant fichtre bien que Facebook n’est qu’une vitrine, et à fortiori une vitrine sur laquelle je me refuse en temps normal à polémiquer. Perte de temps, d’énergie. Geste stérile dans un univers à la virtualité parfois pesante.

Mais là, je n’ai pas pu me taire, seule que j’étais face à ce tsunami d’horreur. Ce cri, je l’ai donc poussé par dépit, par impuissance, par ras-le-bol de voir des droits bafoués, des vies volées, des êtres humains déchirés, au nom de qui, de quoi ? De l’argent, du pouvoir, de la guerre des « grands »… Ce cri n’appelait pas de réponse, et encore moins une réponse de ma part.  Ce cri était celui d’un être humain bouleversé par la marche du monde qui transmettait une information à ses congénères dans l’espoir de… de quoi?

Et contre toute attente, ce commentaire a déclenché des réponses qui m’ont encore plus bouleversée… « Tu proposes ? », « On attend quoi pour faire quoi ?  » Je ne comprends tout simplement pas l’intérêt de telles apostrophes. Ma question était évidemment rhétorique. Je n’ai pas de réponse à apporter, moi petite citoyenne lambda choyée dans une vie privilégiée comparée à l’horreur que je pointais du doigt. Que pourrais-je bien répondre ? Que des lois existent, qu’elles sont bafouées, que des crimes de guerre sont proférés et que personne ne fait rien, que les journalistes devraient plus couvrir et creuser le pourquoi de tels événements, que les politiques devraient faire ci ou ça ? Mon petit « Je » ne peut rien faire, là tout de suite. J’en ai bien conscience et c’est pour cela que ce cri a été poussé. Je crève d’impuissance. Mais être interpellée, montrée du doigt et me faire culpabiliser parce que je souligne, je partage, ces horreurs me laisse sans voix…

Ne rien dire serait donc plus digne ? Se taire parce que l’on se sait (ou l’on se croit) impuissant serait la marche à suivre ? Fermer sa gueule quand le monde part en vrille serait donc la solution ? Et se servir de Facebook pour ne partager que des choses drôles et inutiles et nier l’état du monde dans lequel on vit ? Ce n’est pas pour moi.

ACTION ?!

Non, mon petit « Je » n’a pas LA solution mais encore une fois j’ose croire que des milliers de « Je » réunis peuvent faire se soulever des nations et changer l’ordre du monde. Ce ne serait pas la première fois. Mon petit « Je » n’a pas la prétention d’avoir les clés de ce monde de fous, bien évidemment, mais il a envie qu’il aille mieux. Ne serait-ce qu’un peu.

Je me souviens d’une phrase apprise dans mon enfance, et qui est restée à jamais gravée dans mon esprit :  » Ne pas dénoncer, c’est collaborer. Se taire est un crime.« 

Donc, même si ce n’est qu’un peu, si ça semble dérisoire, faire quelque chose est toujours mieux que rien. Alors, dénonçons ! C’est déjà agir un peu.

On vote pour qui en 2017 ?

Bon, l’échéance se rapproche à grands pas et plus ça va, plus je me dis qu’on est mal…

La politique n’est pas une fin en soi, soit, mais c’est quand même elle qui dirige le monde… Enfin, pardon, c’est l’économie qui dirige le monde en dictant aux politiques ce qu’ils doivent faire, les lois qu’ils doivent voter, les pays qu’ils doivent bombarder ou ceux à qui ils doivent vendre des armes ou des OGM. Mais comme démocratie et économie ne sont pas intimement liées, il ne nous reste donc que les élections pour tenter d’asseoir quelqu’un de bien à la tête de notre pays. Tout le challenge est donc de trouver LE politique qui n’a rien à faire des lobbies, des influences, du pouvoir… Bref, un politique qui ne peut pas – selon cette définition – être un politique.

Le chômage, le pouvoir d’achat, l’immigration, les attentats seront les thèmes phares de l’élection présidentielle.

Petit rappel : la France est un pays situé sur une planète. Et les français sont des êtres humains habitant dans un pays situé sur la même planète. Et ladite planète abrite plus de 7 milliards d’individus qui tous doivent travailler pour se nourrir et vivre – ou survivre – et dealer avec les voisins, parce que c’est sûr qu’à plus de 7 milliards, on se marche sur les orteils. D’autant qu’avec le réchauffement climatique, la surface habitable diminue (eh oui, les terres sont englouties par la mer qui grossit, qui grossit…) et les conflits liés aux voisins qui déménagent parce que chez eux ce n’est plus vivable, ne font que commencer. Et les attentats, bah si on continue notre politique de l’autruche (genre : on est dans les meilleurs pour vendre des armes… mais à qui donc  on les vend? Et des armes, ça sert à quoi ?), eh bien ils ne stopperont pas. Cela étant dit, on se dit que nous partageons tous sur Terre les mêmes problèmes et que les politiques français ont bien tort de se la péter avec leurs grands airs de j’ai découvert la lune en rabâchant ces thèmes de campagne à chaque occasion.

Décortiquons : en gros, on nous dit que les problèmes cruciaux de notre pays sont la résolution de notre problème de chauffe-eau, le changement de notre frigo qui consomme trop et la mise sur cale de notre machine à laver MAIS on omet juste de nous dire que le toit de notre maison est arraché et que les murs sont fissurés.

Oui, parce que s’il y a UN problème que nous partageons tous, Humains que nous sommes, et qu’il est urgent de résoudre si nous voulons encore longtemps avoir à nous faire la guerre sur les autres sujets, c’est bien celui du réchauffement climatique.

Oui, le climat se détracte et le chemin que nous empruntons suit la route la plus pessimiste décrite par les scientifiques. Les sécheresses, les inondations, les tempêtes se font plus nombreuses.et on nous balance au flash infos de 17h qu’il « faut s’y habituer parce que ça va devenir la norme « avant de devenir pire (i.e. ingérable)… Et ce sujet crucial pour l’avenir et la survie de l’HOMME n’est même pas abordé par des politiques qui prétendent pourtant se soucier du sort des Français et vouloir prendre en charge le destin de notre Nation.

Vous ne trouvez pas ça bizarre, vous ? Vous ne vous dites pas qu’il y a un truc qui ne va pas ? Eh bien moi, si. Et je me dis que ces individus aujourd’hui en lice sont des irresponsables et des menteurs (ou des inconscients, ou les deux, ou les trois) parce que, que sera notre pays si la Terre n’est plus en mesure de nous abriter ? Je pose sérieusement la question.

Alors, on fait quoi ? Une fois encore, je pose sérieusement la question.

P.S. : Léo ne se présente pas en 2017, en tout cas pas que je sache…

Envie ? Besoin ? Et si…

L’envie… Le besoin… Qu’est-ce que ça veut dire ici et aujourd’hui ? Tendez l’oreille… Partout, on parle de ce dont on a envie, de ce dont on a (ou croit avoir) besoin, de ce qu’on aura bientôt ou de ce que l’on vient d’avoir (en attendant la suite). De péché capital à perte du bon sens, il n’y a qu’un pas…

Et si… et si nous changions d’axe ? Et si nous (ré)apprenions à avoir envie d’apprécier ce que nous sommes, ceux qui nous entourent, notre vie ? Et si nous exploitions encore et encore tout ce que nous avons déjà et dont nous avons parfois oublié l’existence ? Et si nous partagions ce que nous (s)avons ? Et si nous échangions nos (s)avoirs avec des individus qui, comme nous, privilégient l’expérience à l’acte d’achat ?

Et si l’envie, c’était d’aller vers l’autre pour mieux revenir à soi ?

Et si le besoin, c’était de prendre le temps d’apprécier d’être et de respirer ? Lentement. Posément.

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*   ACTION !   *

  • Et si aujourd’hui, je rédigeais une belle liste d’envies et de besoins que je sens vivants en moi et puis – qu’en toute honnêteté (ça ne regarde que moi…) – je supprimais de celle-ci toutes les notions dictées par la société, par les autres, par le « il faut que » et le « c’est comme ça » pour ne conserver que ce qui fait réellement écho à l’Homme que je suis ou que je veux être ?
  • Et si je m’entraînais à reposer tout achat impulsif ? Demain, j’en repose 1, puis 2, puis 3… Le plus dur c’est d’en avoir conscience. Comment faire ? Posez-vous ces questions : en ai-je vraiment besoin ? Serais-je vraiment « mieux » après l’avoir acheté ? [Et moi, je parie que ce sera l’inverse, vous serez mieux après n’avoir PAS acheté 🙂] Aurais-je envie d’autre chose après ? Et après ?
  • Et si demain, je n’allumais pas la télé par réflexe et profitais de ce temps, de cet espace pour ressortir un livre, un CD, un vinyle (si, si!) et me replonger dans son univers, comme ça pour voir ce que ça fait…
  • Et si, dès que j’ai 2 minutes, au lieu d’aller sur mon iPhone pour vérifier les posts Facebook, je requestionnais les mots « envie » et « besoin » pour repenser leur poids, leur signification ?
  • Et si vous allongiez la liste par vos « Et si… » et me les envoyiez, histoire de partager ?

Dépassé(e) ?

Aïe, combien de fois ai-je entendu :

  • C’est trop gros pour toi !
  • Tu ne peux pas sauver le monde à toi toute seule.
  • Si tu crois que c’est parce que tu coupes l’eau quand tu te brosses les dents que la Terre va aller mieux…
  • Tu tries tes déchets et les entreprises pendant ce temps continuent de polluer.
  • Tu éteins tes lumières, mais les grands magasins restent allumés 24h/24, 7j/7 !
  • Tu manges moins de viande pour ne pas tuer d’animaux, mais regarde chez ton boucher : ils sont déjà morts. Alors, si en plus on ne les mange pas, ils seront morts pour rien !
  • Si on commence à réfléchir, on ne mange plus rien !

Toutes ces petites phrases – prononcées comme si de rien n’était – ont en commun le fait de déresponsabiliser à la fois l’individu auquel elles s’adressent et celui qui les prononce. Elles sont des excuses que les autres nous offrent (drôle de cadeau…) pour ne pas agir, repousser ou nous faire nous sentir mal… Et petit à petit, la société a pris le pas sur ces réflexions personnelles et aujourd’hui, c’est elle qui donne le ton,

…Un problème surgit ? Il est désormais quasiment impossible ne serait-ce que de localiser la personne en charge de le résoudre !

  • Une marée noire suite à un accident sur une plateforme pétrolière ? Déterminer le responsable fut une gageure alors que le pétrole extrait est bien vendu par une entreprise dont le nom figure sur chaque tuyau présent sur le site où a eu lieu l’accident ! Et depuis, BP va bien…
  • Une centrale nucléaire est dévastée par un Tsunami, et continue de polluer nos océans et notre environnement depuis plus de 5 ans, et il n’y a aucun responsable avéré à part la faute à pas de chance et à la Terre qui nous a pondu un Tsunami de cette amplitude (enfin, de la faute au tremblement de Terre…).  Tepco poursuit sa route…
  • Et, pour ces deux exemples, je ne parle pas des actionnaires qui jouissent au sommet de cette société lâche et irresponsable. Qui sont-ils ? Où sont-ils lorsque les entreprises – qu’ils financent et dont ils tirent profit lorsqu’elles sont bénéficiaires – détruisent notre planète, notre écosystème et nos vies ? [à développer dans un autre post, beaucoup trop à dire…]
  • Plus près de nous, prenons l’exemple de la panne d’un produit acheté sur le Net ou d’un changement de forfait pour votre portable. Essayez de faire fonctionner la garantie ou d’expliquer votre situation, je vous promets bien du plaisir ! Et qu’on vous balade… Et que vous expliquez et réexpliquez 10 fois, 100 fois votre cas, à 10, 100 individus invisibles et impossibles à localiser physiquement et dont on ne vous donne que le prénom – encore faut-il vouloir croire que c’est vraiment le leur. Impuissant, demandez alors à parler à la personne « en charge » : impossible, elle est toujours partie, en réunion, aux toilettes… En tout cas, elle n’est jamais disponible. Mais existe-t-elle seulement ?

Malheureusement, les exemples de ce genre abondent et rivalisent en absurdité. Et ces entreprises aux responsables-fantômes gagnent pourtant des millions tous les jours… Et sur quel compte va donc l’argent s’il n’y a pas de responsable ?

Mais que font les politiques ? (Ah ! Ah ! Ah! vite,  des responsables !) Ces derniers font de bien piètres exemples en terme de responsabilité, me direz-vous. Je vous l’accorde. Et alors ? Il est de notre responsabilité d’en changer. Ils sont là parce que nous le voulons bien. Nous les élisons. Nous les entretenons. Commençons donc par nous prendre en main (d’aucun dirait soyons le changement que nous souhaitons voir) en refusant ceux qui parlent en notre nom ET présentons, élisons des femmes, des hommes en phase avec nos valeurs.

Quels que soient les constats, aucune raison ne saurait donc justifier notre inaction. Baisser les bras, tourner la tête, parce que d’autres font pire que nous ou regardent ailleurs, est inexcusable et irresponsable. Encore une fois, nous avons les politiques que nous méritons. Et par conséquent, le monde que nous méritons. Et il est plus que temps que nous méritions autre chose parce qu’à force de n’être plus responsables de rien, le monde nous file entre les doigts…

 Notre société crève de l’irresponsabilité des Hommes.

*   ACTION  !   *

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Agissons mieux pour mériter mieux !

  • Oui, commençons par éteindre l’eau quand on se brosse les dents !
  • Oui, trions nos déchets puis, mieux : passons au zéro déchet !
  • Achetons des produits en adéquation avec nos valeurs et pas forcément avec nos besoins.
  • Voyageons, consommons, vivons en pleine conscience de la réalité dissimulée derrière un packaging vulgairement aguicheur.
  • Communiquons, impliquons nos enfants, montrons-leur la valeur de l’exemple, la valeur des vraies valeurs.
  • Recréons du lien entre les gens, allons à la rencontre des autres : n’acceptons plus les sigles et termes qui déshumanisent (SDF, PMR ou Personne Mobilité Réduite, Migrants…). Nous sommes tous des Hommes.
  • Rejoignons des associations, engageons-nous!
  • Ne reportons plus à demain ce que nous pouvons faire aujourd’hui pour la Terre, pour l’Homme, pour Nous tous.
  • N’ayons plus honte de refuser de suivre la masse.
  • Ne fermons plus les yeux sur les réalités et agissons lorsque nous savons. Des exemples ? Une certaine pâte à tartiner détruit des forêts pour récupérer son huile de palme, refusons de la manger… Des marques utilisent des enfants pour vous habiller, votre portable est assemblé par de petites mains qui ressemblent à celles de votre enfant… Vous achetez, vous cautionnez. Regarder la vérité en face permet d’être en phase avec son cœur et ses valeurs, et ça, ça n’a pas de prix. Renvoyez la responsabilité à qui elle appartient. Vous achetez ? Vous êtes responsable. Vous refusez ? Vous montrez alors du doigt les responsables et les choses pourront alors commencer à changer.
  • Nous ne pouvons certes pas être partout, tout le temps. Mais « soyons », c’est ce qui compte. Le plus souvent. De plus en plus souvent.
  • Encore une fois : votre plus grand pouvoir, c’est votre CARTE BLEUE. Utilisez-la à bon escient et votez ainsi pour une société meilleure et plus juste.
OULALA… C’est dur !

Vos proches se moquent ? Mettez-les face à leurs propres responsabilité ! Votre job ? Leur transmettre les informations et AGIR ! Lorsqu’ils seront prêts, ils comprendront et agiront à leur tour. Mais surtout : ne les attendez pas !  

Vos enfants vous font des crises de nerfs lorsque vous refusez d’acheter un produit qu’ils adorent, qui est à la mode, que tout le « a » mais qui n’est pas en phase avec vos valeurs ? Expliquez-leur le pourquoi de votre décision et incluez-les dans ce monde dans lequel ils sont déjà acteurs. Passée la frustration, ils seront fiers de leurs parents. Et ils seront fiers de participer à la construction d’un monde sain et équitable. D’un monde durable. Qu’ils seront en charge de léguer un jour, à leur tour.

Et puis, « oui, c’est dur » mais…

Si vous ne le faites pas – si on ne le fait pas – bientôt, il faudra expliquer à nos enfants POURQUOI nous avons laissé détruire LEUR planète, sans rien dire… Et là, nous n’aurons ni excuses, ni plan B.

Donc… à vous, à nous de jouer !