De l’engagement autrement

Lors du dernier Moment de Partage Citoyen, nous avons décidé de nous mobiliser à notre façon pour exprimer notre opposition à un projet de construction de vague artificielle près de chez nous. Oui, oui, une vague artificielle entre l’océan et… l’autoroute!

Ce projet compte parmi les projets qualifiés d' »inutiles » et surtout parmi les projets criminels défiant toute logique en ces temps d’ultra urgence écologique.

Il est URGENT que nous tous, citoyens, prenions conscience de notre pouvoir et de notre devoir de dire « NON » à de tels projets pour dire « OUI » à la vie. Il est crucial que l’on se mobilise contre la destruction en cours de notre écosystème, contre le prélèvement insensé des ressources naturelles [dans le cas présent : une forêt de 10Ha de résineux va être abattue ; de l‘eau potable publique va être gâchée en quantité astronomique (25 piscines olympiques pour remplir le bassin !!) dans notre région en proie à la sécheresse] et contre la validation de tels projets !

La Nouvelle-Zélande vient de voter une loi – la loi ZERO CARBONE – consacrant l’engagement pris lors de la COP 21 et plaçant l’urgence écologique au-dessus de toutes les autres lois.

Quand cela se fera-t-il en France ? Il est criminel d’attendre. Il y a URGENCE. Devons-nous le répéter encore ?

En attendant mobilisons-nous. Parlons-en !

Comment ?

  • Rejoignez-nous sur le site Super Local qui recense tous les projets inutiles. Allez sur la carte, cliquez vers chez nous, dans le sud-ouest sur le projet VAGUE ARTIFICIELLE WAVELANDES ATLANTIQUE et rejoignez l’équipe.logo
  • Signez la Pétition contre la vague de Castets et mobilisons-nous. Tant qu’il est encore temps.

A suivre. Vite.

Mon Appel aux Parents relayé. Action.

Je découvre à l’instant cette vidéo d’EXTINCTION REBELLION.

La question à l’origine de mon dernier roman, de ce blog, de mon Appel aux Parents, de mon engagement depuis des années est la leur : « Maman, si vous saviez… Pourquoi n’avez-vous rien fait ? »

Oui. Pourquoi ? J’ai malheureusement des réponses. Et je travaille au quotidien à les réfuter en agissant différemment, en choisissant mon camp puisqu’il faut en choisir un. Je ne veux pas faire partie de ceux qui n’ont rien fait. Pour tous les enfants du monde.

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De l’importance d' »Être »

Hier, nous avions rendez-vous pour un Moment de Partage Citoyens sur l’Urgence Climatique et Environnementale dans notre petit café associatif, grâce auquel rien ne pourrait se produire ! Merci à lui en passant 🙂 #LaSmalahStJu

19.30. Je me suis garée sur le parking vide, bravant la nuit noire, froide et déserte des Landes en me questionnant en boucle sur l’utilité de ces rencontres que nous repoussions depuis la rentrée dans l’attente des résultats de la Campagne Glyphosate : sont-elles souhaitables ? Quelle forme leur donner ? Parler ? Agir ? Les deux ? Nous sommes si peu… Les gens s’en foutent… Je perds mon temps, mon énergie… Le mental travaillait à fond et la plupart du temps, ne broyait que du noir.

Je suis donc arrivée, agrippée à mon besoin premier comme un marin au mât en cas de tempête. A ce besoin qui m’avait poussée à organiser ces Moments de Partage au tout début : besoin de parler à cœur ouvert de la situation, de l’urgence, des questionnements, des peurs et des frustrations que j’avais et qui, selon moi, habitaient chacun de ceux un tant soit peu au courant de la situation actuelle. Je sentais qu’il était important d’être reliée à ce besoin fondamental à mes yeux et de laisser de côté les jugements qui polluaient le mien (« je suis à l’initiative de cet événement donc je dois leur proposer un truc fun, parfaitement organisé sinon ils ne viendront plus… », « il est de ma responsabilité de… », blablabla…).

C’est donc ce que j’ai fait. J’ai essayé d’être juste avec mes envies et mes ressentis. De me raccrocher à moi. Au vrai moi.

Et il s’est avéré que la magie a opéré : nous étions peu nombreux, différents (âge, provenance…) – et donc tellement plus riches ! – et nous nous sommes tous rassemblés autour de notre envie de participer au changement, de notre conviction de l’importance de dire STOP aux projets qui détruisent nos chances de survie, de notre motivation à créer, ensemble, une nouvelle vision et un nouveau monde. Plus juste. Plus humain.

La magie de la créativité, du partage et de l’humanité nous a accompagnés pendant toute la soirée qui s’est terminée pleine d’espoir et de vie. Un joli projet positif et créatif est né de cette connexion honnête et centrée.

Nous verrons la suite, mais la grande leçon du soir pour moi fut la suivante : être présent est la clé. Dans tous les sens du terme. Être là où il faut, quand il le faut et être soi, toujours.

 

To be Glypho or not to be…

Nous y voilà !

Les résultats des prélèvements effectués en octobre à Dax, dans les Landes, sont tombés. Les Pisseurs dont je fais partie, sont « fixés ». Et il n’y a ni surprise, ni miracle : 100% des résultats sont supérieurs au taux autorisé dans l’eau potable (0.1ng/ml).

Taux le + bas : 0.17ng/ml (moi-même… dire que je suis soulagée serait exagéré… même si je préfère avoir ce résultat là que les autres…)

Taux le + haut : 2.20 ng/ml

Moyenne : 0.77 ng/l sur l’ensemble des analyses, soit presque 8 fois le taux autorisé dans l’eau potable.

La Campagne landaise ne déroge donc pas à la « règle » des 5 500 autres analyses effectuées en France : tous les volontaires du département sont contrôlés positifs au glyphosate.

glypho

De la littérature ?

France Bleu , Sud Ouest, France 3 sur l’action en elle-même

Libé , sur la fiabilité du test

Décalage, la suite

Serait-ce la saison ? Les élections qui approchent ?

J’assiste à un enchaînement d’exemples d’argent public à dépenser, croyant aller dans le bon sens et prenant part en réalité à un greenwashing sans vergogne au service des entreprises à la cause du problème.

Un projet « vert », dans un petit village. Porté par une association et financé par des deniers publics. Des terrains de tennis vont être recouverts de panneaux solaires. Le projet m’est présenté, fièrement, sincèrement, comme un projet qui va me plaire car allant dans « mon » sens… » (comme si j’avais un « sens »… comme si le reste du monde souhaitait aller dans l’autre sens… A méditer.) Je consulte le document et mon œil est immédiatement attiré par le nom du constructeur choisi pour ce projet : une filiale de Total.

Et là, je ne peux m’empêcher de dire ce que je pense. Que le projet en lui-même va peut-être dans le bon sens mais qu’il n’est pas abouti… Et de dérouler le pedigree de l’heureux élu. Et là, les yeux se lèvent au ciel et le les visages se ferment. « On ne peut plus rien faire dans ce cas là ! Les plus petites entreprises sont trop chères. C’est lui le plus compétitif. » Tu m’étonnes, il peut l’être avec tout ce qu’il détruit de l’autre côté !

C’est là où le bât blesse. Une partie de la population commence à prendre conscience d’une certaine réalité écologique mais elle n’a pas toutes les données en sa possession. Les entreprises à la cause du problème, elles, ont tout en main pour conserver leur pouvoir d’action. Ils ne lâcheront rien.

Et donc, ma conclusion est sans appel : un tel projet, dans ces conditions, devrait rester dans les cartons. L’urgence est ailleurs.

La conclusion de cette discussion sera toute autre. On a besoin de couvrir les terrains. Ce sera tellement bien pour le village, les enfants, les habitants. Et on a l’argent. Autant l’utiliser. Si nous ne le faisons pas, quelqu’un d’autre le fera.

A quand une politique et un engagement cohérents des individus ?

Décalage

J’ai participé il y a une dizaine de jours à une réunion citoyenne organisée par la CCM locale sur l’état des pistes cyclables locales, leur réfection, leur entretien, la création de nouveaux tracés…

Si l’initiative est à saluer, le décalage entre l’urgence de la situation climatique et les mesures prises pour y parer est ahurissant.

Nous étions une douzaine de citoyens penchés sur des cartes à imaginer les tracés de demain, à râler sur ce qui ne fonctionnait pas bien, à souligner les nids de poules qui pouvaient être dangereux… Bref à discuter d’un sujet qui aurait DÛ prendre en compte l’urgence écologique en cours mais qui n’a jamais mentionné son nom. Les collectivités ont de l’argent à dépenser, alors elles l’allouent à des projets « verts » censés aller dans le bon sens mais c’est à mon goût une pure perte d’argent et surtout de temps.

Lors de quelles occasions prenez-vous votre vélo ? Pour le loisir, le travail, les courses ? Souhaitez-vous plus de magasins de location de vélos, d’endroits pour vous garer…?Telles étaient les questions soumises. Encore une fois, l’idée va dans le bon sens mais…

Lorsque la crise pétrolière prévue se produira, les vélos seront une des seules solutions en place en l’état pour envisager de se déplacer et de se nourrir. Au lieu de dépenser de l’argent sur des tracés basés sur des ENVIES et non des NÉCESSITÉS, ne serait-il pas plus judicieux de repenser la ville, les commerces, les emplois et de dessiner les tracés en fonction de cette nouvelle cartographie de notre localité ? Quid des revêtements desdites pistes ?

Arrêtons de dépenser l’argent comme le feraient des enfants avec leur argent de poche : « On l’a, on le dépense ». Réfléchissons au préalable. Nous n’avons plus beaucoup de temps, utilisons intelligemment.

Le temps passe. L’urgence explose.

Les mois ont passé depuis le dernier article.

Je n’ai pas abandonné mon engagement à défendre ce qui est vital, bien au contraire. J’occupe de plus en plus mon temps à un engagement au quotidien, dans tous les aspects de ma vie.

Les nouvelles sont mauvaises. Tous les jours pires si c’est possible.

Et pourtant, je garde la tête haute et l’envie de vivre chevillée au corps. Mais KEZACO ?

J’écris au quotidien, car c’est ce que j’aime faire. Mon projet de roman avance bien. Un manifeste qui bouillonne également. Et une envie d’exposition sur le sujet depuis 1 an en tête. Elle est toujours là et bien présente. Elle prend forme.

Et je m’engage également concrètement. Car j’ai besoin d’un ancrage dans la réalité :

  • Je m’engage dans le choix de l’éducation que je donne à mon fils. Seule une autre éducation pourra donner une autre société
  • Je m’engage en « pissant volontairement » pour tester le taux de glyphosate qui est à l’oeuvre dans mon corps. Motivation et Résultats à développer sous peu dans un article
  • Je communique autour de l’urgence climatique, ici, là , ou  encore , et dans la vraie vie, en famille ou avec des inconnus, tout le temps
  • Je prends très peu l’avion, réfléchis beaucoup si je dois vraiment le faire
  • J’ai suis depuis peu « consultée » localement sur ces questions, ce qui prouve que quand on agit, il y a un écho
  • Je suis dans plusieurs associations qui œuvrent dans ce domaine
  • Je mange bio, j’achète local et de saison au maximum
  • Je filtre mon eau
  • J’utilise une banque éthique
  • Je fais mon potager (qui ne pourrait pas me nourrir bien longtemps…)
  • Je bosse ma CNV, parce qu’il va en falloir une bonne dose avec un tel sujet
  • Et je lis, je lis, je visionne sur le sujet. J’apprends

En gros, j’en suis là.

 

 

Le monde bouge et nous aussi

Le monde bouge.

L’état d’urgence climatique a été annoncé en Grande-Bretagne et en Ecosse. J’ose croire que les choses vont dorénavant avancer très vite.

Ici, à notre petit niveau, nous allons plus loin dans notre démarche Nous voulons des coquelicots en prenant part à la Campagne Glyphosate lancée par les Faucheurs Volontaires. L’objectif est de proposer à tout citoyen qui le souhaite d’effectuer un prélèvement d’urines qui sera transmis à un labo indépendant en Allemagne, qui reviendra forcément positif (à ce jour, plus de 1500 prélèvements ont été faits dans le cadre de la campagne et tous sont revenus positifs) et, sur la base de ces résultats, de porter plainte COLLECTIVEMENT contre tous ceux qui ont permis la mise sur le marché des pesticides entre 2017 et 2018 (fabricants et membres d’autorités européennes principalement).

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Cette campagne a pour but :

  • De montrer que chacun.e.s d’entre nous a des pesticides dans le corps, le glyphosate en étant le marqueur
  • De sensibiliser le grand public, les utilisateurs et les décideurs
  • De porter plainte avec force contre les responsables du maintien de ce produit sur le marché pour mise en danger de la vie d’autrui, tromperie aggravée et atteinte à l’environnement.

Donc, ça y’est, la campagne est lancée chez nous dans le 40 et plus localement, dans notre petit coin des Landes !

Notre objectif  ? Rassembler au moins 25 personnes dans notre petit groupe et faire parler du glyphosate localement. Pourquoi 25 personnes ? Afin de faire venir un huissier dans nos locaux et de procéder aux prélèvements (urine) localement. Mais cet engagement a un coût non négligeable : 85€ pour le prélèvement et 50€ pour porter plainte.

Et c’est là que Madame Créativité s’invite ! Et si chaque participant rassemblait des personnes qui, faute de vouloir/pouvoir participer physiquement, participaient financièrement pour l’aider à atteindre les 135 euros fatidiques ? Ou alors, et si on organisait des événements pour récupérer des fonds ? Des cours de gym, des ateliers de CNV, de peinture… Tout le monde ne peut pas payer une telle somme, mais tout le monde peut participer, d’une façon ou d’une autre ! A vos méninges, braves gens !

Cette action se veut rassembleuse ! Nous espérons voir une belle union sortir de ce mouvement et bien sûr, obtenir gain de cause. Toutes les actions sont valables. Je reviendrai vers vous à ce sujet !

Agir, c’est être vivant. Ne rien faire, c’est mourir. C’est encore plus vrai aujourd’hui.

***

La Campagne Glyphosate 40 est réalisée avec l’engouement, l’énergie et la générosité de Campagne Glyphosate 40 et Nous voulons des Coquelicots Dax

Et localement grâce à LUCE (Collectif Citoyen sur l’Urgence Climatique et Environnementale) de St Julien-en-born, les Coquelicots en bornVertitude et Greenosity

Incendie toujours en cours !

terre

Écœurée. J’ai envie de vomir depuis lundi soir. Le 15 avril 2019. Lorsque j’ai reçu en pleine face la photo de Notre-Dame de Paris dévorée par les flammes. Cette image m’a bouleversée. J’ai tout d’abord cru à un attentat. Puis, j’ai lu que c’était un « simple » feu. J’ai été un court temps apaisée, puis comme tous, ai assisté impuissante à la violence destructrice de l’incendie qui a fait rage toute la nuit.

Le lendemain, le chiffre record de dons pour sauver cette cathédrale- pourtant si chère à mon cœur, a fini de le briser. Comment les plus riches ont-ils osé tant débourser pour restaurer un monument – aussi sublime fut-il, mais appartenant au passé – alors que notre futur à tous est en péril ? Pourquoi les Hommes de nos pays riches se mobilisent-ils tant pour sauver un bout de notre passé commun ? Pour tenter de (se) faire croire que le monde est immuable ? Que rien ne va changer ? Que l’argent pourra toujours tout réparer ? 

Mais qui ira se promener dans les allées de Notre-Dame lorsque les Hommes seront rayés de la carte ?

Que les gens se regroupent et pleurent ensemble le passé qui part en flamme. Soit. C’est un comportement digne de notre Humanité. Mais alors, soyons cohérents ! Faisons tous les jours de même pour notre présent et notre futur tout proche. Faisons de même pour les hommes et femmes qui meurent de faim et de pauvreté ici et maintenant sur notre planète meurtrie. Faisons de même pour la Nature que l’on mutile au quotidien.

Ne serait-il pas plus sain et plus réaliste de communier, de regarder le feu emporter le passé et de surtout, ne pas essayer de le rattraper ? Car oui, nous sommes fragiles. Oui, nous sommes mortels. Rien ni personne n’est éternel. Et pour cette unique raison, prenons soin de notre vie, de celle de nos voisins, de celle des Hommes à venir. Prenons soin du Monde car nous n’avons que lui. Et lui, nous ne pourrons pas faire de cagnotte pour le reconstruire.

Débriefing d’un Moment de Partage

Le dernier Moment de Partage fut très intéressant.

Je ne ferai pas le compte rendu ici -ce n’est pas le lieu, mais je tiens à parler de l’évolution organique de la soirée.

Je me suis donc rendue au café associatif qui nous accueille après avoir suspendu mon ordre du jour et souhaitant diffuser la vidéo dont je vous ai parlé dans le post précédent. Et bien m’en a pris car la tournure prise par la rencontre fut très riche.

Après validation auprès des quelques membres présents, nous avons plongé dans le vif du sujet et regardé l’intégralité de la vidéo.

Silence et concentration pendant presque une heure.

Puis, nous avons rallumé les lumières et là, les réactions fusèrent :

Elles furent, à ma grande surprise, tout d’abord orientées sur la forme. Les deux influenceurs ont perturbé et en ont pris pour leur grade : leur ton, leur personnalité, jusqu’à leurs vêtements ont fait débat. Je ne m’attendais pas du tout à cela et en fut étonnée, je dois l’avouer (serait-ce le chacal en chacun qui a réagit, se sentant agressé, jugé, découvert ??)

Mais, passée cette première vague libératoire, les propos se sont recentrés sur le fond du débat. Marcher samedi ou non ? Se mobiliser ? A quelle échelle ? Qu’est-ce que la démocratie ? Sommes-nous en démocratie ? La place de l’Etat, des citoyens ? Que pouvons-nous faire ?

Au fil du temps, le ton pris par la conversation a évolué : d’agressive, elle se fit plus intimiste, plus vraie, plus apaisée. Laissant apparaître des failles, des peurs. De l’Humain.

Et de cette vérité de ton de chacun est née, de façon organique, une envie de se connaître. Mais oui, au bout de deux heures, des questions évidentes – mais jusque là non posées – sont apparues : qui es-tu ? Que fais-tu ? Que viens-tu chercher dans ces Moments des Partage ? Les gens ont commencé à se regarder. Véritablement. C’était étonnant de voir le temps et les détours que cela a pris.

Ce que je retiens de cette soirée, c’est la façon dont les citoyens présents se sont appropriés cette proposition de Moment de Partage pour découvrir, ensemble, sans plan ni idée préconçue, qu’ils avaient envie de se connaître. Envie de faire des choses – ensemble ou non. Envie d’être soutenus, épaulés, de savoir qu’ils ne sont pas seuls, de faire partie d’une équipe, d’un clan, d’un groupe.

La nécessité de ces Moments mensuels a alors pris toute sa place à mon sens. L’Homme a besoin des autres, je le sais. Mais lors de cette soirée, je crois que nous l’avons éprouvé dans notre chair. Et ce fut très enrichissant. Une très belle expérience.

To be continued… 🙂

Merci à tous.